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Pratique opérative du Chemin de Croix
dans la tradition Gnostique moderne et dans la Lignée Occidentale des Petites Eglises Orthodoxes Non-Chalcédoniennes
EditeurLa rumeur libre
CollectionLa Bibliothèque
Date de parution03/2023
ISBN/code barre978-2-35577-290-0
Format (mm)141 x 192
ReliureBroché, couverture avec rabats
Nombre de pages184
Poids221 g
Depuis la nuit des temps, érudits, poètes et savants vivent à l’écoute de la Pensée Incréée.
Le sens véritable du Chemin de Croix n’est pas lié au culte de la douleur, de la souffrance ou de la mortification, comme une certaine religion l’a trop longtemps laissé croire, utilisant ainsi la culpabilisation comme outil principal d’asservissement et de destruction auto-générée de toutes les tentatives individuelles d’émancipation. Bien au contraire, s’agit-il d’un parcours régénérateur, d’une déambulation constructive, d’une spirale vivante, qui peut élever régulièrement vers les mondes supérieurs, et aider ainsi au dépassement progressif de certaines problématiques psychologiques, ou, plus simplement, à l’affranchissement des contingences matérielles inhérentes au quotidien de la condition humaine. L’homme, devenant alors plus aérien, peut, en retrouvant la trame et la trajectoire de l’Archée, s’extraire spirituellement de la Matière qui l’emprisonne, et apprendre ainsi à dissoudre, au plus profond de lui-même, la pesanteur de la culpabilité, la dissociation engendrée par son goût du pouvoir — la vanité de ses aspirations les plus inutiles — et la certitude, si malencontreusement enracinée, de l’existence réelle d’un péché originel…
Une introduction et une conclusion ouverte à propos de la Gnose encadrent quatorze chapitres des quatorze stations, en prenant appui sur une bibliographie de référence.
Depuis la nuit des temps, érudits, poètes et savants vivent à l’écoute de la Pensée Incréée
Le sens véritable du Chemin de Croix n’est pas lié au culte de la douleur, de la souffrance ou de la mortification, comme une certaine religion l’a trop longtemps laissé croire, utilisant ainsi la culpabilisation comme outil principal d’asservissement et de destruction auto-générée de toutes les tentatives individuelles d’émancipation. Bien au contraire, s’agit-il d’un parcours régénérateur, d’une déambulation constructive, d’une spirale vivante, qui peut élever régulièrement vers les mondes supérieurs, et aider ainsi au dépassement progressif de certaines problématiques psychologiques, ou, plus simplement, à l’affranchissement des contingences matérielles inhérentes au quotidien de la condition humaine. L’homme, devenant alors plus aérien, peut, en retrouvant la trame et la trajectoire de l’Archée, s’extraire spirituellement de la Matière qui l’emprisonne, et apprendre ainsi à dissoudre, au plus profond de lui-même, la pesanteur de la culpabilité, la dissociation engendrée par son goût du pouvoir — la vanité de ses aspirations les plus inutiles — et la certitude, si malencontreusement enracinée, de l’existence réelle d’un péché originel…
Une introduction et une conclusion ouverte à propos de la Gnose encadrent quatorze chapitres des quatorze stations, en prenant appui sur une bibliographie de référence.